Hervé GERBI

Je ne défends aucun logo ou parti. Je suis la société civile qui s’engage. Je suis le centre populaire

Portrait

Qui suis-je ?

J’ai 54 ans, je suis père d’un garçon de 27 ans dont je suis particulièrement fier et avec lequel je partage notamment la passion du sport.

Mon quotidien professionnel et personnel se vit avec Milène, auprès de laquelle tout devient possible.
Notre famille recomposée nous permet de profiter de nos 2 très jeunes petits-enfants.

Ma vie personnelle et professionnelle s’est construite ici à Grenoble et dans la vallée du Grésivaudan et j’aime raconter le souvenir de mes grands-parents qui tenaient Rue Thiers une petite librairie – tabac.

Quand je pense à mon père, j’éprouve un profond respect pour celui qui commença à livrer le petit casino de la rue Jean PERROT et devint, à force de travail, directeur de magasin dans la distribution.

Quand je pense à ma mère, j’ai cette admiration pour la vie de famille qu’elle a donné à ses 4 enfants et le courage, par les aléas de la vie, de devoir revenir tard dans son existence au travail.

Une rencontre avec la maladie et le handicap

Je ne serai pas avocat spécialisé auprès des victimes si je n’avais pas un jour fait cette rencontre avec la maladie et le handicap.

A 20 ans, j’ai pris la mesure de la finitude des choses.

Je comprends ce besoin de vivre chaque jour intensément, de voyager, de grimper en Montagne et se baigner dans un lac glacé.

De cette expérience, j’ai acquis la certitude que les différences sont une force collective.

Mon parcours professionnel

J’ai prêté serment en 1996 et me suis spécialisé dans l’accompagnement des victimes.

En 2012, après un diplôme en analyse criminelle, j’ai présenté à un congrès international de police le fruit d’un travail de 2 ans sur l’audition des victimes.

En 2018, la réussite dans des dossiers médiatiques et particulièrement complexes a contribué à ce que je sois élu « personnalité de l’année » par les lecteurs du Dauphiné libéré.

Si mon quotidien est rythmé par les accidents de la route, les accidents médicaux, les accidents du travail et bien sur le droit pénal des victimes, je reste profondément marqué par les 9 mois passés en qualité d’avocat de victimes au procès des attentats de Paris du 13.11.2015.

Avec une équipe de 18 collaboratrices et collaborateurs répartis sur le site de Grenoble et d’Annecy nous travaillons à apporter humanité et professionnalisme dans la justice.

Sans oublier...

Et à part tout cela, je suis aussi fan de Mylène FARMER, j’aime les balades en raquette et la raclette, le whisky du Trièves ou du vercors et le cépage rouge Persan de la vallée du Grésivaudan (avec modération), je cuisine et je chante souvent, me débrouille pas mal au ping-pong et apprécie la lecture au coin du feu.

Mais tout cela n’est pas exhaustif et nous aurons le temps de faire vous et moi plus ample connaissance.

Mes valeurs

Liberté & Justice

Travail & Courage

Respect des autres et de soi-même

Empathie et Esprit de Solidarité

Mes convictions

Sécurité

Depuis bientôt 30 ans, je reçois la souffrance des victimes, et je ne mesure pas le nombre de larmes que j’ai vu couler devant moi.

Grenoble, malgré ses atouts, est le réceptacle d’une violence que j’ai vu d’années en années plus importante.

Sans sécurité, il n’y a pas de bien vivre et nous ne pouvons pas nous étonner de la désertification du centre-ville.

Les villes qui l’entourent craignent l’extension de ce phénomène.

Le besoin d’autorité de l’Etat et de toutes nos institutions jusqu’à l’échelon local devient une nécessité.

Ce n’est pas qu’une question de pouvoir mais de légitimité et de responsabilité.

Parce que certains élus locaux rejettent la responsabilité de l’action à d’autres, il faudra demain faire de la sécurité de proximité un devoir que le maire doit à ses administrés.

A la condition de lui en donner les moyens.

Sur ce point, spectateur aux côtés des victimes blessées ou endeuillées des limites de l’action, je sais qu’il faut changer la loi pour que demain la police municipale ait des compétences élargies et des moyens renforcés. Elle sera alors une police de proximité efficace aux côtés de la police nationale.

En 2021 j’ai été à l’origine du 1er sondage réalisé sur la sécurité sur le territoire de Grenoble.

Présentation à la presse du 1er sondage sécurité à Grenoble
Solidarité

La maladie, l’accident, sont des aléas de la vie auxquels nous devons parfois faire face.

Je vois tant de vies brisées, d’emplois perdus, de familles disloquées, que je mesure que ce que nous avons de précieux, c’est notre capacité à organiser un système de solidarité solide et efficace.

Nous devons avoir sur ce point un discours de vérité : seule une meilleure gestion de nos dépenses publiques et une meilleure répartition de l’impôt, dans une économie de la liberté d’entreprendre, permettront le financement de notre solidarité.

Nous devons avoir le courage de nos priorités.

Écologie & Économie

En 2011, je déployais mes équipes dans ce qui a été en France le 1er immeuble de bureaux à énergie positive. Un nom prédestiné : Bonne Energie !

J’ai toujours eu la conviction que nous avions un engagement à tenir : laisser à nos enfants une planète aussi belle et aussi propre que possible.

En 2011, ce choix écologique d’entreprise s’inscrivait avant même que Grenoble ne devienne la 1ère ville écologique de grande taille.

14 ans plus tard, nous mesurons comment certains ont fait de l’écologie un instrument de souffrance et non un instrument puissant au service de l’innovation, de la liberté d’entreprendre et de la réussite économique.

Nous devons nous préparer à tourner la page de l’écologie radicale pour ouvrir bientôt ensemble,  la page de l’écologie inclusive.

Mon Engagement

Ce dont je suis fier

Le droit est complexe, nous le savons tous.

Mon travail d’avocat m’oblige à en rechercher le sens, décrypter les interprétations et accepter que d’autres comprennent un texte autrement.

Je ne supporte pas la radicalité de pensée qui conduit à opposer les uns contre les autres et finalement à créer le désordre.

Quand je plaide, j’ai une obligation : être compris des juges ou des jurés.

C’est un exercice difficile qui oblige à parler pour les autres et non pour soi.

Complexité des idées, rejet de la radicalité de pensée et du désordre, je suis convaincu que la politique peut se faire autrement.

Je ne suis pas un représentant de partis. Inscrit dans une vision politique d’un bloc républicain central, je ne représente que les électeurs.

Je suis la société civile qui s’engage.

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